Responsabilité sociale et environnementale

Yan Kaczynski est un photograhe d’aventure, un réalisateur et un environnementaliste. Il fait partie des créatrices et créateurs d’ici avec lesquels nous collaborons. Ses photos sont une invitation à honorer le territoire, le monde naturel et les humaines et humains qui en prennent soin avec amour et respect. Ι Nitassinan, territoire traditionnel de la Nation innue / Monts Groulx – Uapishka, Québec

Chez De ville en forêt, nous aspirons à une nouvelle culture plein air fondée sur les droits de la nature, les droits humains et la justice envers les peuples autochtones.

Droits de la nature

La biodiversité est essentielle à la vie. Elle est pourtant mise en péril par l’humanité. Nous saluons les gardiennes et gardiens qui l’ont préservée à travers le temps. Nous entendons leur appel à l’action face aux impacts écologiques et environnementaux qui menacent le vivant et le non vivant. Nous comprenons la nécesssité de faire reconnaître  juridiquement les droits de la nature en vertu de la valeur intrinsèque de la nature, indépendamment de ce qu’elle peut rapporter aux humains. 

Droits humains

La diversité sous toutes ses formes est aussi vitale à la société que la biodiversité l’est aux écosystèmes naturels. C’est un facteur d’harmonie sociale et de bien-être individuel. Dans les lieux de plein air, des obstacles persistent pour certaines populations et la diversité y demeure sous-représentée. Le droit à un environnement sain est lésé chez celles et ceux qui ne peuvent pas  profiter des bienfaits régénérateurs de la nature et de l’activité en plein air.

Justice envers les peuples autochtones

Nous reconnaissons que le Québec est constitué de terres traditionnelles autochtones qui n’ont pas été cédées. Les nations et les communautés autochtones du Québec entretiennent des liens étroits avec le territoire et assurent sa protection depuis des temps immémoriaux. « Ce faisant, elles honorent leur responsabilité culturelle et préservent leurs identités, leurs activités traditionnelles, et leurs modes de vie. » (1) Nous croyons que « les peuples autochtones et non autochtones peuvent travailler ensemble dans le cadre d’une nouvelle approche en matière de conservation – une approche ancrée dans les lois, la science et les relations avec la terre des Autochtones ». (2)

(1) Protection du territoire et des ressources, Institut de développement durable des Premières Nations du Québec et du Labrador (2024)  (2) Devenir un allié de la conservation dirigée par les Autochtones, Gardiens pour la terre (2024)

Notre responsabilité sociale et environnementale

Au nom des droits de la nature, des droits humains et de la justice envers les peuples autochtones, nous nous engageons à renforcer la qualité, la pertinence et les retombées de notre travail. D’abord, en honorant et respectant les nations autochtones et leurs territoires traditionnels. Ensuite, en agissant de manière responsable vis-à-vis des impacts de nos décisions et de nos actions sur l’environnement et la société. Aussi, en allant au-delà de la gestion immédiate de nos impacts pour avoir une action plus structurante dans les milieux de plein air, du tourisme et de l’événementiel. Enfin, en laissant un legs durable à la collectivité.

Design : Sophie Caron / Caron Communications graphiques

Honorer et respecter les nations autochtones

Nous reconnaissons que le territoire québécois est constitué de terres traditionnelles autochtones qui n’ont pas été cédées. Nous tenons à reconnaître que les nations et les communautés autochtones du Québec entretiennent des liens étroits avec le territoire et qu’elles « assurent sa protection depuis des temps immémoriaux. Ce faisant, elles honorent leur responsabilité culturelle et préservent leurs identités, leurs activités traditionnelles, et leurs modes de vie. » (1). Nous croyons que « les peuples autochtones et non autochtones peuvent travailler ensemble dans le cadre d’une nouvelle approche en matière de conservation – une approche ancrée dans les lois, la science et les relations avec la terre des Autochtones ». (2)

(1) Protection du territoire et des ressources, Institut de développement durable des Premières Nations du Québec et du Labrador (2024)  (2) Devenir un allié de la conservation dirigée par les Autochtones, Gardiens pour la terre (2024)

Nous nous engageons à :

  • Reconnaître que nous habitons et travaillons à Tiohtiá:ke / Mooniyang / Montréal et qu’elle fait partie des territoires traditionnels de plusieurs Premières Nations, dont les Kanien’kehá:ka de la Confédération Haudenosaunee, et les Anishinabeg; 
  • Reconnaître et respecter les territoires traditionnels autochtones dans les lieux où nous nous rassemblons et sur les images que nous utilisons (reconnaisssance en cours sur notre site web);
  • Mieux connaître et comprendre :
    • L’histoire de ces lieux, des nations autochtones et des territoires traditionnels qui s’y trouvent;
    • Le rôle des nations autochtones dans la protection des territoires avec lesquels elles entretiennent des liens étroits, par la voie de l’intendance, des initiatives de conservation et des luttes de résistance;
    • Le savoir scientifique des nations autochtones et des communautés locales au sujet des milieux naturels, de la flore et de la faune;
  • Partager ces connaissances ainsi que des ressources d’apprentissage sur les peuples autochtones et des ressources d’apprentissage issues des Premières Nations et de la nation inuit en lien avec la protection du territoire et la conservation de la biodiversité;
  • Appuyer le leadership autonome en matière de protection du territoire et de conservation de la biodiversité par l’entremise de dons versés chaque année à une ou plusieurs organisations.

INFORMATION

Guide de prononciation phonétique

La ville de Montréal est connue sous le nom de Tiohtià:ke en Kanien’kéha, et de Mooniyang en Anishinaabemowin. 

    • Tiohtià:ke > Joh-jaw-gay
    • Kanien’kehá:ka > Ga-niyen-ge-HAA-ga
    • Haudenosaunee > Hoh-DEE-noh-SHoh-nee
    • Anishinabeg > Ah-nish-ih-nah’-bey (1)

Communautés des Premières Nations environnantes

Les communautés Kanien’kehá:ka les plus proches de Tiohtià:ke sont Kahnawà:ke, située sur la rive sud-ouest de Montréal, Kanehsatà:ke, située sur la rive sud du lac des Deux Montagnes, et Akwesasne, qui s’étend sur l’Ontario, le Québec et l’État de New York. Kitigan Zibi Anishinabeg est situé à quelques centaines de kilomètres, à la rencontre des rivières Désert et Gatineau. De nombreuses autres communautés autochtones sont situées sur le territoire proche de Tiohtià:ke et s’étendent au Québec. Ces nations comprennent : les Abénaquis, les Atikamekw, les Cris de la Baie James, les Innus, les Malécites, les Mi’gmaq, les Naskapis, les Hurons-Wendats et les Inuits. Pour visualiser les nations et leur emplacement, veuillez consulter la carte Les communautés autochotones au Québec. (2)

La Ville présente ses nouvelles armoiries et son nouveau drapeau qui intègrent le pin blanc à titre de symbole des Peuples autochtones et représentant la paix, l’harmonie et la concorde.

(1) (2) Protocoles autochtones, Fédération des sciences humaines, 2024
Réconciliation, protection du territoire et conservation de la biodiversité
Dernière mise à jour : 21 mars 2025 Ι Contactez-nous si vous voulez partager sur cette page des ressources d’apprentissage sur les peuples autochtones en lien avec la protection du territoire et la conservation de la biodiversité.

Classement. Ne détenant pas d’expertise en biblioéconomie, cette liste a été ordonnée de manière plus ou moins aléatoire.

 

Cartes numériques des territoires autochtones et recherche selon la terre sur laquelle vous vous trouvez 

  1. « Native Land Digital est une organisation canadienne à but non lucratif, constituée en décembre 2018. Native Land Digital opère sous leadership autochtone, avec une directrice exécutive autochtone et un conseil d’administration majoritairement autochtone qui supervisent et dirigent l’organisme. » « La carte Native Land ne représente pas et n’a pas l’intention de représenter les langues ou les limites légales des nations autochtones. Elle permet d’identifier la nation avec laquelle communiquer pour en apprendre davantage sur les limites précises du territoire qui vous intéresse. »
  2.  « Whose Land est une application web disponible en français pour aider les utilisatrices et utilisateurs à trouver les nations, les territoires et les communautés autochtones partout au Canada. Elle peut servir à se renseigner au sujet du territoire où se trouve votre domicile ou votre entreprise, à obtenir des renseignements pour rédiger une reconnaissance du territoire, ainsi qu’à découvrir les traités et les accords signés dans tout le pays. Vous pouvez également y regarder des vidéos éducatives pour mieux comprendre l’importance des reconnaissances de territoire et la façon dont les Autochtones perçoivent leur relation avec la terre. »

« Reconnaître cette terre sur laquelle nous nous trouvons, c’est reconnaître la vérité. Reconnaître la vérité, c’est reconnaître les connexions et les déconnexions. Reconnaître les connexions et les déconnexions, c’est reconnaître les nations qui prennent soin de notre mère. Reconnaître notre mère, c’est reconnaître la vérité. Reconnaître la vérité, c’est reconnaître que la vérité est au cœur de la conversation. » — Monique Aura, Nation Oneida

Cartes des communautés autochtones au Québec

« Consultez la carte interactive Les 11 nations autochtones du Québecdu gouvernement du Québec, pour accéder à des informations concernant les différentes nations et communautés autochtones du territoire québécois. »

Cette carte (en format PDF) donne un aperçu des onze Premières Nations et des cinquante-cinq communautés autochtones au Québec. Pour obtenir des renseignements sur les droits de reproduction, veuillez communiquer avec Services aux Autochtones Canada.

Onzes nations autochtones du Québec et offre touristique

« Tourisme Autochtone Québec soutient, au moyen du tourisme, des entreprises autochtones durables et favoriser la rencontre en valorisant l’offre touristique et l’expérience culturelle des Premières Nations et Inuit. » Une invitation à découvrir les onze nations autochtones du Québec, à honorer les traditions et à célébrer la richesse d’un patrimoine vivant.

« Pour faciliter la collaboration entre les entrepreneurs autochtones et les acteurs de l’industrie touristique, Tourisme Autochtone Québec désire, à travers Aashukan : Un guide de sensibilisation aux réalités autochtones en contexte touristique, contribuer à démystifier les réalités autochtones contemporaines en sensibilisant et en outillant
les différentes parties prenantes afin qu’à leur tour, elles deviennent des alliées respectueuses et multiplicatrices. »

Avant de visiter une communauté autochtone : 5 conseils pour comprendre les réalités autochtones.

Respect de la culture en territoire autochtone

« Lancée en 2020 par l’Association touristique autochtone du Canada (ATAC), Destination Autochtone est une vitrine des meilleures expériences du tourisme autochtone d’un bout à l’autre du pays. »

« Dans son guide Pow-wow 101 : Un guide complet pour célébrer dans le respect de la culture, l’écrivain, le producteur et l’auteur de récits numériques Zane Buchanan partage les règles de conduite et les connaissances qu’il a acquises grâce à ses expériences immersives sur la route des pow-wow, afin de mettre en lumière la signification culturelle profonde de ces rassemblements intemporels. »

Lignes directrices pour les photos

Lignes directrices pour les photos est une publication de l’Association touristique autochtone du Canada : « Les images donnent vie aux histoires. Les choix que nous faisons quant à la représentation visuelle de nos communautés ont une portée considérable. Les images non seulement montrent ce que nous faisons, mais définissent aussi comment nous sommes perçus. La marque ATAC vise à raconter plusieurs histoires différentes, en démontrant la diversité des nations autochtones dans l’ensemble du Canada. En allant au-delà des photos stéréotypées des peuples autochtones « figés » dans l’histoire, nous pouvons montrer nos communautés telles qu’elles sont réellement : diversifiées, authentiques, affirmées et contemporaines. »

Guide de rédaction pour les médias 

12 façons de mieux choisir notre vocabulaire lorsque nous écrivons sur les peuples autochtones est une publication de l’Association touristique autochtone du Canada : « La langue est un des nombreux moyens utilisés pour opprimer les peuples autochtones. En étant conscient de la façon dont le colonialisme implicite sévit dans la langue, vous pouvez recadrer le récit et décoloniser vos mots. Le but de ce guide est d’aider les rédacteurs à agir de façon plus éclairée et de leur fournir une compréhension de base pour que des termes historiquement inexacts ne soient pas répétés, les protocoles autochtones ne soient pas brisés et qu’un langage offensant ne soit pas utilisé. »  

Répertoire Identification Premières Nations ID1N

L’Identification Premières Nations « vient appuyer et protéger les entrepreneurs et les communautés des Premières Nations dans toutes les sphères du développement économique, en plus de permettre de reconnaître rapidement l’authenticité de nos produits et services. » « Pour les non-autochtones, cela va faciliter les gestes simples et concrets pour participer quotidiennement à la démarche de réconciliation. Explorez le répertoire ID1N!

Éléments du patrimoine toponymique autochtone du Québec

« La carte Éléments du patrimoine toponymique autochtone du Québec met en lumière des noms de lieux autochtones particulièrement significatifs, qui ont été retenus par les représentants de communautés autochtones en raison de leur valeur sur le plan culturel, que ce soit parce qu’ils désignent des entités géographiques très importantes dans l’histoire des communautés ou parce qu’ils revêtent une symbolique forte pour elles. »

Des extraits sonores, enregistrés par des membres des communautés représentées, permettent d’entendre la prononciation des noms.

Histoires des drapeaux autochtones

« Symbole de colonialisme pour certains, d’émancipation culturelle pour d’autres, la plupart des 11 nations autochtones du Québec possèdent désormais leur propre drapeau. Coup d’œil sur les principaux étendards des premiers peuples et les symboles qu’ils véhiculent. »

Mythes et réalités sur les peuples autochtones

Le site web mythesetrealites.ca vise à rendre accessible au plus grand nombre les contenus de la troisième édition du livre Mythes et réalités sur les peuples autochtones, produit par l’Institut Tshakapesh et coédité avec la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse.

Meilleures pratiques en matière de mise en valeur des cultures autochtones 

« L’organisme Mikana a publié in guide dans le but d’aider les personnes qui le liront à se sentir mieux outillées lors de la prise de contact avec des gens et des organismes autochtones, et à établir une relation respectueuse et pérenne avec ces partenaires. Plus largement, nous souhaitons que la consultation de cette ressource contribue à la création d’espaces culturellement sécuritaires et, pourquoi pas, à l’épanouissement de la collectivité. » Un chapitre est consacré aux reconnaissances territoriales.

Promotion de l’intendance et du développement durable des Premières Nations 

« L’Assemblée des Premières Nations appuie les Premières Nations dans l’exercice de leurs droits dans l’intérêt de la protection de l’environnement. »

Mobilisation des Premières Nations pour la conservation de la biodiversité

« L’Assemblée des Premières Nations de Québec-Labrador, par le biais de l’IDDPNQL, dévoilent aujourd’hui leurs actions et leurs indicateurs en lien avec le Plan nature 2030 du gouvernement du Québec. Cette série d’actions et d’indicateurs est le fruit d’une longue et fructueuse collaboration entre les Premières Nations et l’IDDPNQL et est centrée sur leurs besoins et leurs ambitions en matière de conservation de la biodiversité sur leurs territoires et à l’échelle du Québec. »

Sites de conservation autochtone

L’Institut de développement durable des Premières Nations du Québec et du Labrador a publié cette fiche technique qui clarifie le concept de sites de conservation autochtone.

Alliance entre le savoir autochtone et la science

Un reportage de l’émission La semaine verte à la télévision de Radio-Canada : « Encore aujourd’hui, beaucoup de décisions liées au développement ou à la protection des territoires sont prises sans jamais consulter les peuples qui y vivent. Mais, le vent tourne et le savoir autochtone est de plus en plus pris en compte, notamment par les scientifiques qui veulent protéger le caribou forestier, une espèce en déclin. »

Aires protégées d’initiative autochtone

Un reportage de l’émission La semaine verte à la télévision de Radio-Canada : « En février 2021, Québec modifiait la Loi sur la conservation du patrimoine naturel pour y introduire un nouveau concept : celui des aires protégées d’initiative autochtone. Sur la Côte-Nord, la communauté innue de Pessamit a décidé de saisir cette occasion pour réclamer la protection d’une partie de son territoire ancestral. Au centre du projet, la sauvegarde du caribou forestier et de la culture innue. »

Devenir des alliés de la conservation dirigée par les Autochtones

« Devenir un allié de la conservation dirigée par les Autochtones, publié par les Gardiens pour la terre, offre un aperçu de la manière dont les peuples autochtones et non autochtones peuvent travailler ensemble dans le cadre d’une nouvelle approche en matière de conservation – une approche ancrée dans les lois, la science et les relations avec la terre des Autochtones et qui illustre la façon dont la réconciliation peut se traduire en actions concrètes. »

Depuis 2016, l’Initiative de leadership autochtone et ses partenaires ont travaillé à la création d’un réseau national des gardiens autochtones.

Le gouvernement du Canada a établi une liste des programmes des gardiens au Québec et dans le reste du Canada qui ont reçu un financement dans le cadre du Programme pilote des gardiens autochtones 2024-2025.

La carte des gardiens autochtones recense les communautés qui se sont ajoutées à cette carte parce qu’elles mènent des activités d’intendance sur leurs terres et leurs eaux.

Devenir des alliés aux luttes autochtones

« La Trousse pour les allié-es aux luttes autochtones, créé par le RÉSEAU de la communauté autochtone de Montréal en 2019, vise à éduquer les personnes et les groupes allochtones sur la façon dont elles peuvent utiliser leurs privilèges pour écouter, modifier les dynamiques du pouvoir et prendre des mesures concrètes en vue de la RÉconcili-Action. » 

Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones 

« Le Musée canadien pour les droits de la personne est le premier musée exclusivement consacré à l’évolution des droits de la personne, à leur avenir et à leur célébration. » Sur son site web, il répond aux questions suivantes : « Qu’est-ce que la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones et quelle est son importance? Que signifie l’engagement du Canada à mettre en œuvre la Déclaration? Quelles en seront les répercussions sur les droits issus des traités, les droits fonciers, les droits aux ressources et les droits culturels au Canada? »

Peuples et cultures autochtones du Canada

Sur cette page d’information du gouvernement du Canada, « découvrez les trois groupes distincts d’Autochtones dont les histoires, les langues, les expressions culturelles et les croyances spirituelles bien à eux font partie de l’identité de notre pays : les Premières Nations, les Inuit (ou Inuits) et les Métis. Plus de 1,8 million de personnes s’identifient comme Autochtones au Canada. »

Page en construction Ι Dernière mise à jour : 21 mars 2025 Ι Contactez-nous si vous voulez partager sur cette page des ressources d’apprentissage issues des Premières Nations et de la nation inuit en lien avec la protection du territoire et la conservation de la biodiversité.

Classement : Merci à Tourisme autochtone Québec de faire connaître les noms traditionnels des Premières Nations et de la nation inuit. Nous les reproduisons ici pour classer les ressources que nous partageons avec vous! Ι Ressources à venir des Premières Nations Atikamekw, Eeyou, Mi’gmaq, Naskapi,W8banaki, Wendat, Wolastoqiyik, et de la nation inuit

« Les 10 Premières Nations et la nation inuit représentent un peu plus de 1 % de la population du Québec. Les Premières Nations sont réparties en 41 communautés dispersées sur l’ensemble du territoire québécois. La majorité de ces communautés sont des réserves administrées par un conseil de bande. Pour leur part, les Inuit, qui ne sont pas des Indiens au sens de la Loi sur les Indiens, occupent le Grand Nord québécois, au-delà du 55e parallèle. Ils sont regroupés en 14 villages nordiques, dirigés chacun par un ou une maire et un conseil. À l’instar des communautés de la nation crie et de la nation naskapie, les communautés inuits sont situées sur le territoire d’application de la Convention de la Baie James et du Nord québécois et de la Convention du Nord-Est québécois.

Un nombre important de personnes autochtones habitent par ailleurs en milieu urbain, à l’extérieur de leurs communautés d’origine. »

Source : Gouvernement du Québec
 

Paroles des Premiers Peuples

Laissez-nous raconter : L’histoire crochie

« Notre histoire collective a été écrite d’un point de vue eurocentriste et colonialiste. Dans la série balado Laissez-nous raconter : L’histoire crochie, les Premiers Peuples reprennent le bâton de parole pour raconter leur vision de l’histoire. La poétesse innue Marie-Andrée Gill redresse 11 mots lourds de sens pour nos peuples afin de réconcilier le passé et le présent. C’est ensemble, mamu en innu aimun, qu’on décolonise nos esprits un mot à la fois. »

Une production de Terre Innue à Maliotenam (aujourd’hui Nikan Productions) en collaboration avec Radio-Canada OHdio.

Anishinaabe

Minwashin

« Au coeur de l’Anicinabe AKI, Minwashin est un organisme culturel sans but lucratif qui a pour mission de soutenir, de développer et de célébrer nos arts, notre langue et notre culture. »

21 février, Journée de la langue anicinabe : « La langue anicinabe – anicinabemowin – nous lie à un territoire en particulier. Comme toutes les langues autochtones, elle est née du contact entre la terre, les arbres, les animaux, tout ce qui nous entoure, et nos esprits. Ses racines sont ancrées dans la Terre-Mère, et bien que notre langue soit issue d’un territoire, elle nous permet de transporter ce territoire avec nous, à travers notre identité. » – Richard Ejinagosi Kistabish

Le territoire au centre de la vie : « Chaque famille habitait et protégeait ses territoires ancestraux, dont elle connaît le nom des cours d’eau, des montagnes, et les secrets millénaires chuchotés par les arbres. Nous sommes tous les enfants de la Terre-Mère, dont les arbres sont les cheveux et les rivières, les veines. »

Dans cette capsule vidéo, « Oscar Kistabish, aîné très respecté de la communauté anicinabe de Pikogan, partage sa vision du territoire au travers du récit de vie de ses ancêtres. »

Innu/Ilnus

Alliance Muteshekau-shipu

« Muteshekau-shipu – le nom innu de la rivière Magpie – est située sur le Nitassinan de la Nation Innue (territoire ancestral), tout près de la communauté de Ekuanitshit (Mingan). » « L’Alliance Muteshekau-shipu a pour objectif la protection et la mise en valeur de la rivière Magpie ainsi que la reconnaissance de ses droits. »

La rivière Magpie est la première rivière au Canada reconnue comme « personnalité juridique ». Magpie, pour toujours – Manifeste pour la rivière Magpie   

Les Innus racontent leur histoire

« Dans la tradition ancestrale des Premiers Peuples, les savoirs se transmettent de génération en génération par la parole et l’exemple. Les aîné(e)s jouent un rôle capital dans cette transmission qui concerne autant le savoir-faire pratique que les mythes et croyances. » La section « Nation innue » de cet outil numérique partage des information sur l’histoire de la nation, des communautés et du territoire.

Sous les barrages Tshishe Manikuan

« Depuis des temps immémoriaux, les Innus ont pratiqué un mode de vie nomade en parcourant les bassins versants se déversant dans la Mer du Labrador et le Saint-Laurent ; certains groupes franchissaient même la ligne de partage des eaux, rejoignant les rivières s’écoulant vers la Baie d’Ungava, la Baie d’Hudson et la Baie James. »

« La série balado Sous les barrages Tshishe Manikuan souhaite ainsi rendre hommage à ceux et celles qui, enfants, adolescent.e.s ou jeunes adultes, ont vu les grands voyages en territoire devenir chose du passé, et qui luttent depuis, non seulement pour obtenir justice, mais pour assurer le maintien d’une mémoire culturelle brutalement altérée par la disparition des lieux et des paysages qui en sont les dépositaires.

Au fil des sept épisodes, vous pourrez donc entendre leurs récits, afin que soit enfin libéré ce qui se cache SOUS LES BARRAGES. »

Uapashkuss

« À ce jour, UAPASHKUSS a identifié huit sites sacrés localisés dans le territoire innu, dont Mishta-shipit, Pakameshan, Kakatshat, Matshi-nipi, Nikuashkan, Uapashkush, Kauteitinat, Mushuau-shipit.

Cette série de sites naturels sacrés représente une partie du Chemin des Innus à travers des rivières, des portages, des montagnes et des lacs pour parcourir notre territoire de vie, notre maison. Le but ultime de ce long voyage est d’aller à la rencontre du caribou pour la survie de notre peuple nomade à travers les quatre saisons. »

« Le projet Pakatakan, qui signifie « portage » en langue innue, est issu d’un partenariat conclut en 2019 entre UAPASHKUSS et la Société pour la nature et les parcs – section Québec (SNAP Québec) et vise la protection et la reconnaissance des sites naturels sacrés innus répertoriés par UAPASHKUSS. »

Kanien’kehá:ka

Glossaire et prononciation des mots en Mohawk : « Pour le bénéfice du lectorat, l’actrice Kaniehtiio Horn, qui a grandi dans la communauté kanien’kehá:ka de Kahnawà:ke, a accepté de donner la prononciation correcte de près d’une centaine de mots autochtones se trouvant dans l’ouvrage La Mohawk Warrior Society. Manuel de souveraineté autochtone. »

Gérer les impacts de nos décisions et de nos actions

  • Nos bureaux sont installés dans une coopérative d’habitation située en plein cœur d’un îlot de chaleur hostile à la biodiversité. Nous avons initié une démarche de transition vers la permaculture pour l’aménagement et l’entretien des espaces verts. Celle-ci est maintenant complétée. Un manuel est en préparation dans le but d’outiller les membres de la coop. Ce projet bénévole s’inscrit dans le cadre des initiatives montréalaises pour accroître la résilience urbaine face aux changements climatiques et au déclin de la biodiversité.
  • Nous avons la chance de travailler dans le voisinage du mont Royal. Selon les Amis de la montagne, plusieurs problématiques d’usage qui sont observées dans ce parc urbain résultent d’une combinaison de l’évolution du comportement et de la fréquentation et de l’utilisation intensive des lieux. La dégradation des milieux naturels par l’activité humaine nuit inévitablement à la santé des écosystèmes. La montagne est également exposée aux changements climatiques. Ceux-ci entraînent un réchauffement ainsi que l’accroissement du nombre d’événements extrêmes ayant un impact sur la forêt. L’agrile du frêne cause à lui seul la mort de milliers d’arbres. Nous prenons part à des travaux communautaires qui sont organisés par les Amis de la montagne dans le but de préserver les écosystèmes du mont Royal et de repeupler la forêt.
  • Les groupes qui suivent nos formations comptent un nombre restreint de participantes et participants et les sept principes Sans trace leur sont enseignés, permettant ainsi de réduire l’impact cumatif de ces activités sur le milieu naturel.

Réduction

  • La réduction de nos déplacements de même que l’utilisation du transport actif, collectif et collaboratif sont nos alternatives au « tout à l’auto » et à l’auto solo. À l’occasion, nous recourons à l’autopartage via Communauto pour nous rendre hors des centres urbains ou pour voyager sur de longues distances à la rencontre de nos clientes et clients. 
  • Depuis 2024, nous avons accrû le nombre de formations que nous offrons en format virtuel afin de contribuer à la réduction des émissions liées aux déplacements.
  • Grâce à l’application conviviale Amigo Express, nous créons une plateforme de contact entre les personnes décidées à utiliser le covoiturage lorsque nous organisons une activité en région éloignée. Les participantes et participants en sont informés sur les pages qu’ils consultent sur notre site web. Ils y trouvent également des renseignements au sujet de la compensation carbone via le programme Carbone Boréal.
  • Nous encourageons les organisatrices et organisateurs que nous accompagnons professionnellement à mettre en place une plateforme de covoiturage et des mesures incitatives à l’intention de leur personnel, des bénévoles et des publics lors de leurs événements.
  • Les feux de camp, ces grands émetteurs de gaz à effet de serre et de particules fines, ont été éliminés de nos activités. Nous utilisons des réchauds à l’alcool sans émissions de carbone pour la cuisine en plein air.

Compensation

  • Le moteur de recherche Ecosia neutralise les émissions générées par nos recherches en plantant des arbres et en compensant notre consommation énergétique par le recours aux énergies renouvelables. Nous en informons nos clientes et clients sur leurs factures.
  • La compensation de notre empreinte carbone (autopartage, transport urbain interurbain, appareils électroniques et alimentation) sert à financer la recherche sur la séquestration du carbone par la plantation d’arbres chez Carbone Boréal. Depuis 2022, nous optons pour la compensation en double de nos émissions dans une perspective intergénérationnelle. À ce jour, 180 arbres ont été plantés et inscrits au registre public de Carbone boréal (mise à jour : 31 décembre 2024).
  • Nous avons conclu un partenariat avec Carbone Boréal dans le but de renforcer nos efforts de sensibilisation. Nous informons notre clientèle et le grand public de la compensation des émissions générées par nos déplacements pour aller à leur rencontre, ou par l’utilisation de moyens électroniques pour une présentation en ligne ou en salle.
  • Nous faisons le maximum pour diminuer notre part dans la ponction de ressources naturelles et dans la production d’émissions de gaz à effet de serre. De ville en forêt a obtenu une attestation d’excellence écoresponsable (92%) des Pages vertes.
  • Nous rationalisons l’utilisation de notre équipement informatique et utilisons un éclaiage LED tant à l’intérieur qu’à l’extérieur afin de réduire notre consommation d’énergie.
  • Pour communiquer avec nos clientes et clients, nous n’utilisons plus d’encre et de papier. Nous avons réduit à sa plus simple expression les documents que nous distribuons lors de nos formations et de nos séances de travail. De plus, nous évitons l’envoi de messages électroniques avec de grosses pièces jointes qui entraînerait automatiquement une augmentation de la consommation de données. Nous rangeons plutôt les renseignements, la documentation et les formulaires à compléter sur notre site web pour un partage simple, rapide et protégé. La réservation ainsi que la facturation se font en ligne. Et puisque le tout est accessible en tout temps, le réflexe d’imprimer les documents devient beaucoup moins automatique, voire inutile.
  • Nous avons créé une plateforme en ligne pour la mise en commun du matériel de plein air au sein des groupes inscrits à nos formations. Elle valorise l’entraide et une consommation plus responsable. Une des pages de notre site web propose des solutions de rechange à la surconsommation de matériel de plein air et fournit une liste de bonnes adresses pour faciliter le passage à l’action. Grâce à notre partenariat avec Locapaq, les personnes intéressées peuvent profiter d’une réduction du coût de location d’équipement.
  • Nos démonstrations mettent en valeur des articles de plein air réemployés, réparés et réutilisés. Les objets neufs que nous présentons sont sélectionnés en fonction des informations de fabrication durable qui sont disponibles, de leur certification Écologo ou Écocert et/ou de leur fabrication locale.
  • Nous publions la mise en garde suivante chaque fois que nous mettons du matériel en démonstration : « Ce matériel appartient à De ville en forêt. Il a été acquis par nos propres moyens. Nous ne faisons pas de promotion d’articles de plein air ou d’entreprises. Nous ne tirons aucun avantage pécuniaire de la démonstration d’articles ou de produits. »
  • Nous faisons uniquement affaire avec des gestionnaires de territoire ou de sites de plein air ainsi que des fournisseurs de services d’hébergement ou de restauration qui sont enracinés localement. Notre partenariat avec les Parcs régionaux de la Matawinie en est un excellent exemple.
  • Nous avons publié en accès libre le Guide pour des pratiques responsables au quotidien, une adaptation de Suggested Leave No Trace in Daily Life Practices, du Leave No Trace, à l’intention des publics francophones du Québec, d’ailleurs au Canada et dans le monde.

Avoir une action structurante dans les milieux de plein air, du tourisme et de l’événementiel

  • Nous ne touchons aucune aide gouvernementale ou privée pour développer une expertise unique au Québec. Nous prospérons grâce aux revenus autonomes des mandats que nous réalisons à travers le Québec. Plutôt que d’utiliser nos bénéfices pour accroître nos salaires, nous avons choisi de les réinjecter dans la recherche et le développement dans notre domaine d’innovation. En 2024, nous avons finalisé la conception de trois boîtes à outils servant à accompagner l’implantation du programme Sans trace à l’échelle locale en éducation, en tourisme ou en événementiel. En 2025, une quatrième boîte à outils, toute aussi originale ques les autres, a été mise à la disposition des instructrices et instructeurs à l’avant-garde du mouvement Sans trace au Québec.
  • Par le truchement du bénévolat de compétences, des organismes profitent d’une banque d’heures de services professionnels que nous leur offrons gracieusement. Pour en bénéficier, les organisations doivent faire la preuve de leur volonté et de leur capacité à intégrer le programme Sans trace à leur programmation à l’échelle nationale. En 2025, nous poursuivrons notre implication auprès de Sans trace Canada. Nous nous impliquerons également auprès de la Coalition québécoise du plein air
  • En 2024, après avoir collaboré avec le Conseil québécois des événements écoresponsables à formuler une série de recommandations lors de la consultation sur la BNQ 9700-253nous avons enfin pu célébrer l’ajout d’indicateurs relatifs à protection des milieux naturels à cette norme relative à la gestion responsable d’événements. Précédemment, nous avions participé au comité consultatif composé de seize représentantes et représentants de municipalités, d’entreprises et d’organismes ayant permis au CQEER de suggérer une liste d’indicateurs uniformisés en écoresponsabilité événementielle aux bailleurs de fonds et aux municipalités. Ces indicateurs ont été éventuellement adoptés par le ministère du Tourisme durable : Nouveau cadre normatif pour soutenir la croissance et l’innovation de l’industrie événementielle. 
  • De ville en forêt ne touche aucune aide gouvernementale ou privée. Nous tirons tous nos revenus des services livrés par une seule personne à travers le Québec. En dépit de cela, nous faisons le maximum pour garder nos honoraires et nos autres frais à un niveau très raisonnable. Nous cherchons ainsi à éviter que les limites budgétaires des individus, des organismes à but non lucratif et des petites entreprises constituent un frein à leur ambition.
  • Toujours dans le but de réduire les coûts de formation pour les organisations, nous avons investi une énorme quantité de ressources dans la création du cours certifié Instructrice et Instructeur Sans trace de niveau 1 en format virtuel.
  • Nos ateliers Sans trace sont les services de formation les plus accessibles que nous pouvons offrir en milieu naturel. En discutant à l’avance de leur besoin d’adaptation avec les personnes concernées, il est possible de planifier le réaménagement d’un parcours. Nous pouvons également choisir un parc à accessibilité universelle afin de faciliter l’adaptation d’un atelier à la condition physique et à la capacité du groupe. L’inscription est gratuite pour l’accompagnatrice ou accompagnateur d’une personne à mobilité réduite.
  • Dans une visée d’accessibilité universelle, nous avons entrepris de corriger les problèmes de lisibilité sur notre site web. Nous profitons de l’aide bénévole d’une experte du domaine.
  • Le plein air accessible étant en plein essor, nous souhaitons adapter les sept principes Sans trace à la réalité des personnes à mobilité réduite dans les lieux de plein air et publier cette adaptation sur la page des aide-mémoires Sans trace en accès libre sur notre site web. Avis aux personnnes intéressées : nous recherchons des collaboratrices ou des collaborateurs en mesure de nous aider à recommander les pratiques de réduction des impacts les plus appropriées.  
  • Nous souhaitons apporter notre soutien à une relève d’éducatrices et éducateurs Sans trace plus représentative de la diversité. Nos bourses de formation s’adressent à des personnes qui oeuvrent dans le secteur du plein air et qui contribuent à sa diversité. Qu’elles soient impliquées bénévolement ou professionnellement, ce sont des personnes qui souhaitent rehausser leur compétence environnementale. Elles se sont déjà familiarisées avec les sept principes Sans trace et sont motivées à les intégrer à l’encadrement de leurs groupes ou à les enseigner dans divers milieux.
  • Nos bourses servent à défrayer les frais d’inscription à la formation Instructrice et Instructeur Sans trace de niveau 1 que nous organisons en format virtuel, ou en personne dans l’avant-pays ou dans l’arrière-pays. Cinq bourses ont été octroyées en 2018 et 2019.  En 2020, 2021 et 2022, l’annulation de nos formations en raison des mesures préventives de la COVID n’a pas permis d’attribuer de bourses. En 2025, notre programme de bourses prendra un nouvel envol dans le but d’appuyer avec plus de dynamisme la diversité, l’inclusion et l’équité dans les milieux de plein air. Abonnez-vous à notre liste d’envoi pour plus d’information.

Laisser un legs durable à la collectivité

  • Les terres et les eaux que nous partageons ne dépendent pas seulement de notre fréquentation responsable, mais aussi de la volonté de chaque personne de prêter main forte pour les protéger. Dans une série d’articles, nous explorons des façons simples et faciles pour chaque personne de rehausser son éthique de respect envers la nature et de solidarité avec les générations présentes et futures, et de la propager autour de soi.
  • Nous investissons des fonds personnels et une part de nos bénéfices pour créer du matériel éducatif de grande qualité à l’intention des publics scolaires et du grand public. Nous avons également traduit et adapté une série d’aide-mémoires et de guides Sans trace pour la transmission des sept principes auprès de divers publics francophones du Québec, d’ailleurs au Canada et dans le monde. C’est notre façon de redonner à la collectivité ce que nous avons reçu. Nous poursuivons ainsi la tradition de partage de savoir et d’expérience qui anime le mouvement Sans trace depuis les années 60.
  • De ville en forêt est membre de VolonTerre Québec, le tout premier réseau national des bénévoles en environnement au Québec. Une petite équipe de bénévoles recrutée grâce à cette plateforme s’affaire à créer une affiche de promotion des sept principes Sans trace à l’intention des gestionnaires de territoire et des autres organisations qui accueillent et accompagnement des publics en plein air. Une autre équipe bénévole s’affaire à organiser le dévoilement de cette affiche prévue à l’occasion de la Journée internationale de la Terre nourricière ou du Jour de la Terre 2025
  • Tout le monde devrait avoir accès au plein air et développer sa compétence environnementale pour s’y sentir encore plus à l’aise. Nous cherchons à ce que toutes et tous se sentent davantage inclus et concernés par les ressources que nous produisons en travaillant de près avec des collaboratrices et collaborateurs à mieux représenter la population dans son ensemble dans nos textes et dans nos images.
  • Nous n’achetons ni n’utilisons d’images des banques pour utilisation commerciale. Les photos et les illustrations que nous publions sont l’oeuvre de créatrices et créateurs d’ici dont nous apprécions le travail et l’engagement envers la protection de l’environnement. Nous associons nos talents pour faire en sorte de bien communiquer le message Sans trace. La création de chaque nouvelle image est l’occasion de consolider nos liens de collaboration. Leurs créations étant pour longtemps dans l’espace public, nous nous assurons de rétribuer équitalement leur travail et de reconnaître et faire respecter leur droit d’auteur. 
Aller au contenu principal